Ce projet se donne pour objectif de promouvoir les méthodes probantes pour l’éducation des migrant(e)s dans les écoles et d’évaluer les politiques et pratiques actuelles dans ce domaine. Le résultat du projet sera une série de propositions et recommandations concrètes adressées aux organisations membres et aux gouvernements.

Groupe consultatif

  • Susan Flocken CSEE
  • Paola Cammilli CSEE
  • Daniel Wisniewski EFEE
  • Sarah Kik EFEE
  • Charlotte Holm DLF Danemark
  • Jean-Luc Barbery ACOD-Onderwijs Belgique
  • Pantelis Nicolaides OELMEK Chypre
  • Tanja Modrijan ESTUS Slovénie
  • Maria Luisa Vico Nieto FeSP-UGT Espagne
  • Borka Visnic TUS Serbie
  • Brenda Lynch ETBI Irlande
  • Koenraad Vandenbussche GO! Belgique

Groupe consultatif

Avec le soutien de

  • Ce projet bénificie du soutien de la Commission européenne

Avec le soutien de

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Le premier séminaire de formation des partenaires sociaux européens de l'éducation a eu lieu à Copenhague (Danemark) les 14 et 15 mars 2019. Il a été organisé avec le soutien de l'organisation membre du CSEE, DLF, partenaire du projet «Partenaires sociaux sectoriels européens pour promouvoir l’intégration efficace des migrant(e)s et des réfugié(e)s aux systèmes éducatifs». Les partenaires sociaux de Belgique, du Danemark, d'Estonie, de Finlande, d'Allemagne, d'Islande, d'Irlande, de Norvège, de Suède et du Royaume-Uni ont examiné les besoins des migrant(e)s et des réfugié(e)s en matière d'éducation, ainsi que les défis et solutions pour leur intégration effective dans l'éducation en vue de l'élaboration des lignes directrices conjointes CSEE-FEEE sur la manière de promouvoir l'intégration effective des apprenants migrants et réfugiés dans l'environnement éducatif et socio-économique des pays d'accueil par le biais d'initiatives conjointes des partenaires sociaux aux niveaux national, régional et local. La pénurie d’enseignants, le manque de formation sur les compétences multiculturelles, le soutien psychosocial pour aider les élèves traumatisés, l’enseignement de la seconde langue et l’enseignement dans la langue maternelle, la charge de travail et le manque de ressources pour répondre aux besoins éducatifs sont apparus comme des obstacles à l’accès des nouveaux arrivants à l’éducation. Les partenaires sociaux ont été rejoints par d’autres parties prenantes telles que l’Association européenne des parents d’élèves, l’Union européenne des étudiants, la Plateforme pour la coopération internationale sur les sans-papiers, SOLIDAR et le consortium LABOUR-INT. La nécessité de créer des synergies au sein de la communauté d’apprentissage au sens large afin de réduire les inégalités et de répondre aux besoins des enfants migrants et réfugiés a été reconnue. En conclusion de la réunion, les partenaires sociaux ont réaffirmé leur engagement à relever ce défi crucial par le biais du dialogue social européen et national.